Kiowa

par **Kiowa** Dim 19 Avr - 21:26

I. CARTE D'IDENTITÉ

Nom, prénom :

Âge et date de naissance :

Statut social:

Races:

Élément choisit :

II. DESCRIPTION

Apparence physique : Kiowa est une jeune femme d’un habituel soigné, et ce, malgré le fait qu’elle soit clandestine. Elle aime paraitre d’une femme parfaite, ou du moins, sa chevelure et son visage. C’est pourquoi, qu’en général, sa chevelure platine entour son visage de ses quelques mèches rebelles alors que le reste, habituellement noué en queue de cheval et légèrement remonter pour former une « fontaine ». Ses oreilles sont légèrement pointues, ce qui lui donne l’avantage d’entendre mieux. Puis son regard, un regard doré, dans lequel, on se croirait face à un miroir. Sur sa joue gauche, repose un petit tatouage, que personne, ni même elle-même, ne sait exactement sa provenance. Elle est d’une taille svelte et elle est agile, un simple regard suffit à le remarquer d’ailleurs. De plus, Kiowa semble, sans réelle raison, toujours garder une apparence matériel.

Caractère : Au premier regard, Kiowa semble être une plutôt calme, sereine et docile, et ce, malgré le regard froid et dure, qu’elle semble afficher en permanence. Dans un franc caractère, elle ne recherche point la bagarre, elle préfère de loin être pacifiste malgré les circonstances. Cependant, elle déteste voir les gens réduit à l’esclavage. Étant été elle-même esclave par le passé et désormais en fuite, elle tâche par tout les moyens possible de venir en aide à ses jeunes êtres rabaisser par la population, et maltraiter selon le bon vouloir d’homme et de femme qui ose se croire supérieur. Elle souhaite un jour parvenir remettre se monde en pays libre, et ainsi vivre en paix comme il le fut, il y a de cela plusieurs années. Mais sous cette apparence de jeune femme docile, Kiowa ne rêve que d’une chose : se venger. Cette haine, qui fait rage dans son cœur ne demande que de faire surface, mais le moment ne semble jamais s’être dévoiler.

Particularité(s) : Kiowa ne sait pas exactement ce qu’elle est, elle sait qu’elle possède des pouvoirs qui n’apparaissent, dans la plupart des cas, lorsqu’elle est en colère.

III. BIOGRAPHIE

Enfance : Le début de la vie de Kiowa a été calme et paisible. Rien ne s’était passé de bien différent des autres familles et ce, jusqu’à l’âge de 4 ans, ou elle se vit ravir à ses parents pour être rabaisser à états d’esclaves. À cet âge, vous en conviendrez, que tout enfant qui se respecte accepte et fait exactement ce qu’on lui demande, parce qu’il connait les conséquences de sa désobéissance. Sans demander pourquoi, pleurant toutes les nuits la perte de ses parents, Kiowa vaquait aux occupations qu’on voulait bien lui donné : Cuisine, nettoyage, tout. C’est de là que la docilité de la femme téméraire est apparue. Elle n’avait jamais eu l’audace de répliquer par peur de se prendre un coup en signe de punitions. Plus les années passaient, et plus Kiowa grandissait, alors que ses souvenirs de ses parents s’estompaient pour ne devenir que néant. Elle maudissait le jour, ou cet homme, armé d’une épée et d’un arc était entré chez elle, avec la ferme intention de l’emmener, laissant derrière eux ses parents en larmes. La question qui ne cessait de subsister dans la mémoire de Kiowa était : pourquoi n’avaient-ils rien fait? Pourquoi ses parents, avaient-ils laissé l’homme partir en l’emmenant avec lui, sans même poser de geste pour l’en empêcher? Et à chaque fois, elle en déduisait que ses parents n’auraient rien pu faire… comment de simples êtres humains auraient pu? Eh oui, par la dissipation de ses souvenirs, Kiowa avait aussi fini par oublier qu’est-ce qu’elle était vraiment.

Par la suite : Le reste de la vie de Kiowa, fut tout de même assez calme, et ce, malgré le fait qu’elle soit réduite à l’esclavage. Les années passaient, elle grandissait, emportant toujours avec elle le seul espoir qu’un jour la chance lui sourira et ce jour, elle sera de nouveau libre. Et ce jour ne tarda pas plus que cela. C’était un beau matin de ses 14 ans, elle se levait à l’aurore comme tout le matin, pour aller préparer le déjeuner de son maître, qui se faisait vieux. Avec les années, Kiowa avait appris à apprécier cet homme malgré son statut. Il avait même fini par faire d’elle sa préférée, et avait littéralement arrêté de châtier à tout moment, et ce, grâce a l’audace qu’elle avait eue, un jour de lui demander, dans le plus calmement, s’il était possible, qu’il cesse ce manège soit la remarque que les esclaves s’en porteraient que mieux, et pourrait alors mieux le servir. Se fut à ce jour, qu’elle vécu en tant qu’une esclave, mais traiter comme privilégier, et ce, de tous. Enfin bref, elle s’était donc rendue, à sa chambre, emportant sur un plateau d’argent, le repas gentiment préparé. À son grand étonnement, à son entrée dans la pièce l’homme ne la salua pas. Cela attira grandement l’attention de la jeune esclave qui s’en approcha pour finalement constater qu’il était mort. Elle mit quelque temps, avant de sortir de la pièce. Malgré son statut, les dernières années cet homme avait été pour elle comme un père, et lui, il avait eu la fille qu’il avait toujours rêvée et que Dieu, n’avait jamais voulu lui donner. C’est ainsi que mourut l’homme, sans héritier et sans femme.

Cela faisait déjà quelques minutes, et les autres esclaves semblaient s’inquiéter. L’un d’eux alla à la chambre et découvrit Kiowa au chevet de l’homme. Sans plus attendre, il en avertit les autres. Le plus vieux et le plus sage quitta alors la maison, pour se rendre chez le registre des esclaves et annoncer la mort de son maître. On lui annonça, comme la loi le disait, qu’aucun esclave ne devait quitter la maison, qu’un homme viendrait les chercher pour les porter à leur nouveau maître. Le vieux sage, rebroussa donc chemin, et expliqua à tous ce qu’ils devaient faire. Kiowa avait finalement quitté la pièce et retrouvé les autres au moment exact où le vieux sage annonçait les ordres du registre des esclaves. C’est à ce moment, que Kiowa comprit enfin, que sa chance venait de tourner. Si elle voulait être libre, elle devait immédiatement fuir, et ce, avant l’arrivée de cet homme. Sous les reproches du vieux sage, Kiowa rassembla ses effets personnels et sortis en douce, par la porte de derrière. Puis, fila dans les bois et se cachant dans une tanière abandonner. Elle y resta plusieurs jours, afin de s’assurer que personne ne la trouve, car il était certains qu’on allait lancer à sa poursuite, des chasseurs.

Depuis lors, Kiowa est resté libre, elle a maintenant 19 ans, et elle est le chef de la révolte des esclaves. Parcourant ville et village, étudiant chaque loi, chaque façon de vivre, délivrant des esclaves de l’emprise des maîtres…

Famille : Kiowa se rappel que très peu de ses parents. Depuis qu’elle avait été mise en esclavage elle ne les avait jamais revues. Malgré tout, par moment, alors qu’elle faisait les achats pour son maître, elle se sentait observer, et elle semblait voir ses gens qui la regardaient, des êtres légèrement translucides par moment, immatériel…

IV. DERRIÈRE L'ÉCRAN

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